par SapeurBertty » 19 mai 2018, 18:28
La moitié des familles des Tuamotu-Gambier vit avec moins de 60 000 Fcfp par mois
Dans sa dernière étude sur les dépenses des ménages aux Tuamotu-Gambier, l’Institut de la statistique (ISPF) révèle que les dépenses moyennes des familles dans l’archipels ont progresse de 53% pour atteindre 167 000 Fcfp par mois. Par ailleurs, la moitié de la population déclare vivre avec moins de 60 000 Fcfp par mois.
Entre 2000 et 2015, les dépenses des ménages des Tuamotu-Gambier ont progressé de 53% hors inflation, elles atteignent 167 000 Fcfp par mois en moyenne par ménage. L’alimentation, les transports, le logement et les loisirs et la culture représentent 60% des dépenses de consommation. Les dépenses liées au logement sont en baisse par rapport à 2 000 et leur part demeure inférieure à celle de l’ensemble de la Polynésie française.
En 2015, la moitié de la population des Tuamotu-Gambier déclare disposer de moins de 60 000 Fcfp par mois et par unité de consommation, ce seuil est inférieur à celui de l’ensemble de la Polynésie française.
La moitié des familles des Tuamotu-Gambier vit avec moins de 60 000 Fcfp par mois
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Dans sa dernière étude sur les dépenses des ménages aux Tuamotu-Gambier, l’Institut de la statistique (ISPF) révèle que les dépenses moyennes des familles dans l’archipels ont progresse de 53% pour atteindre 167 000 Fcfp par mois. Par ailleurs, la moitié de la population déclare vivre avec moins de 60 000 Fcfp par mois.
Entre 2000 et 2015, les dépenses des ménages des Tuamotu-Gambier ont progressé de 53% hors inflation, elles atteignent 167 000 Fcfp par mois en moyenne par ménage. L’alimentation, les transports, le logement et les loisirs et la culture représentent 60% des dépenses de consommation. Les dépenses liées au logement sont en baisse par rapport à 2 000 et leur part demeure inférieure à celle de l’ensemble de la Polynésie française.
En 2015, la moitié de la population des Tuamotu-Gambier déclare disposer de moins de 60 000 Fcfp par mois et par unité de consommation, ce seuil est inférieur à celui de l’ensemble de la Polynésie française.