Qui a mangé les cœurs de cocotiers contaminés ?
Publié : 20 févr. 2009, 09:02
Si personne n’a entendu parlé de la contamination de l’atoll de Totégégie et de l’île de Mangaréva en juillet 1966 ou février 1967, c’est que les autorités militaires de cette époque ont tenu les informations secrètes.
En effet, le tir de la bombe « Aldébaran »du 02 juillet 1966 avait déplacé plusieurs personnalités sur l’île de Mangaréva pour assister au tir de la bombe au petit matin. Lorsque le champignon atomique c’est formé il a été poussé par les vents sur Mangaréva et bien entendu sur Totégégie.
Tout ce beau monde, Gaston Flosse le premier et natif de l’île, sont partis de Mangaréva sans rien dire, alors qu’un Tamara était prévu pour le midi.
Aujourd’hui il suffit de se référer aux enquêtes menées par les équipes de France3 Thalassa notamment à l’excellent reportage intitulé « Gambier, sous le vent nucléaire ». Cette enquête révèle la contamination et le peu d’intérêt que le gouvernement et les autorités militaires avait des personnels civils et militaires de cette époque, l’important était que la France se dote coûte que coûte de la bombe atomique.
Nous avons servis, à notre insu, de cobayes en milieu contaminé.
En effet, le tir de la bombe « Aldébaran »du 02 juillet 1966 avait déplacé plusieurs personnalités sur l’île de Mangaréva pour assister au tir de la bombe au petit matin. Lorsque le champignon atomique c’est formé il a été poussé par les vents sur Mangaréva et bien entendu sur Totégégie.
Tout ce beau monde, Gaston Flosse le premier et natif de l’île, sont partis de Mangaréva sans rien dire, alors qu’un Tamara était prévu pour le midi.
Aujourd’hui il suffit de se référer aux enquêtes menées par les équipes de France3 Thalassa notamment à l’excellent reportage intitulé « Gambier, sous le vent nucléaire ». Cette enquête révèle la contamination et le peu d’intérêt que le gouvernement et les autorités militaires avait des personnels civils et militaires de cette époque, l’important était que la France se dote coûte que coûte de la bombe atomique.
Nous avons servis, à notre insu, de cobayes en milieu contaminé.