Arrivée de nouveaux sapeurs
Publié : 11 mars 2009, 11:52
Je ne me souviens pas de la date, mais cela doit se situer entre les mois d’avril et mai 1967 à Totégégie.
Cette semaine là, j’étais caporal de semaine me semble t-il. Un bâtiment de la Royale ou marine nationale est arrivé en fin d’après midi dans le lagon, il devait s’agir du Berry ou de l’Anjou. Il est resté au mouillage à quelques centaines de mètres du rivage, Totégégie n’étant pas encore équipé d’un quai.
Le capitaine de la Compagnie Sézylle de Mazancourt me désigne pour aller chercher les nouveaux arrivant qui sont à bord du bâtiment avec une baleinière pilotée par un légionnaire. Moi qui avais passé des heures horribles à bord de l’Argens pendant la traversée de Hao à Totégégie, cela n’étais pas un bon présage pour mon estomac.
Vers les 19 heures me voilà parti avec mon pilote légionnaire, pas très parleur mais très bon pilote. Le lagon est un peu agité à mon goût mais bon on fera avec. Arrivé prés du bâtiment, le pilote de la baleinière s’est bien positionné le long de la coque juste sous la passerelle. J’ai été le premier à accueillir les nouveaux arrivant, nous avons fait cinq ou six transbordements, le dernier presque à la nuit tombante. Tout s’est bien passé, pas la moindre nausée, comme quoi lorsque on est absorbé par son travail on oubli ses problèmes.
Merci encore à mon pilote de la Légion qui savait à merveille prendre les vagues et le bonjour amical à tous les sapeurs que j’ai accueilli ce soir là.
Cette semaine là, j’étais caporal de semaine me semble t-il. Un bâtiment de la Royale ou marine nationale est arrivé en fin d’après midi dans le lagon, il devait s’agir du Berry ou de l’Anjou. Il est resté au mouillage à quelques centaines de mètres du rivage, Totégégie n’étant pas encore équipé d’un quai.
Le capitaine de la Compagnie Sézylle de Mazancourt me désigne pour aller chercher les nouveaux arrivant qui sont à bord du bâtiment avec une baleinière pilotée par un légionnaire. Moi qui avais passé des heures horribles à bord de l’Argens pendant la traversée de Hao à Totégégie, cela n’étais pas un bon présage pour mon estomac.
Vers les 19 heures me voilà parti avec mon pilote légionnaire, pas très parleur mais très bon pilote. Le lagon est un peu agité à mon goût mais bon on fera avec. Arrivé prés du bâtiment, le pilote de la baleinière s’est bien positionné le long de la coque juste sous la passerelle. J’ai été le premier à accueillir les nouveaux arrivant, nous avons fait cinq ou six transbordements, le dernier presque à la nuit tombante. Tout s’est bien passé, pas la moindre nausée, comme quoi lorsque on est absorbé par son travail on oubli ses problèmes.
Merci encore à mon pilote de la Légion qui savait à merveille prendre les vagues et le bonjour amical à tous les sapeurs que j’ai accueilli ce soir là.