REBELLION à LA 115
Publié : 03 avr. 2019, 11:32
C'est une anecdote qui m'a été rapportée par Bernard ANDRÉ. Je ne m'en souviens pas ou j'étais en voyage de détente.
"On y va."
La Cie était rassemblée comme chaque jour, quelques baratins inintéressants puis un supérieur prend la parole et commence à dire que notre quartier n'est pas propre et nos Fillod non plus. "Il faut que ça change, sinon des sanctions seront prises"
.......................Un blanc..............
"Compagnie garde à vous, rompez, au travail!."
Spontanément, personne n'a bougé, ce qui explique peut-être le rafraîchissement de l'ambiance.
Les cadres interloqués, se sont retirés pour un conciliabule puis sont revenus avec un discours plus modéré. Le travail a repris rapidement. Faut avouer que dans notre quartier à certains endroits il y avait du laisser aller et la troupe n'avait pas comme nos cadres du personnel de nettoyage à disposition. Simple problème d'organisation, une demie journée consacrée au nettoyage, avec les engins aurait satisfait tout le monde.
J'ai entendu parler d'une gréve liée à la qualité et la quantité de l' alimentation de la troupe (génie de l'air) qui avait conduit les meneurs dans la prison de Arué.
Je pense que si nous n'avions pas eu la marine pour les problèmes de nourriture nous aurions eu aussi des problèmes d'autorité.
Je ne sais plus sur quel forum, Pierre du PÉRIGORD nous a conté les mésaventures de la 115ème sur la base d'Orléans. Je vais voir si je retrouve, c'est un morceau d’anthologie.
"On y va."
La Cie était rassemblée comme chaque jour, quelques baratins inintéressants puis un supérieur prend la parole et commence à dire que notre quartier n'est pas propre et nos Fillod non plus. "Il faut que ça change, sinon des sanctions seront prises"
.......................Un blanc..............
"Compagnie garde à vous, rompez, au travail!."
Spontanément, personne n'a bougé, ce qui explique peut-être le rafraîchissement de l'ambiance.
Les cadres interloqués, se sont retirés pour un conciliabule puis sont revenus avec un discours plus modéré. Le travail a repris rapidement. Faut avouer que dans notre quartier à certains endroits il y avait du laisser aller et la troupe n'avait pas comme nos cadres du personnel de nettoyage à disposition. Simple problème d'organisation, une demie journée consacrée au nettoyage, avec les engins aurait satisfait tout le monde.
J'ai entendu parler d'une gréve liée à la qualité et la quantité de l' alimentation de la troupe (génie de l'air) qui avait conduit les meneurs dans la prison de Arué.
Je pense que si nous n'avions pas eu la marine pour les problèmes de nourriture nous aurions eu aussi des problèmes d'autorité.
Je ne sais plus sur quel forum, Pierre du PÉRIGORD nous a conté les mésaventures de la 115ème sur la base d'Orléans. Je vais voir si je retrouve, c'est un morceau d’anthologie.